La notion d’Absolu est évoquée à maintes reprises dans les articles de ce blog car elle est cruciale. Mais pour bénéficier au quotidien des extraordinaires pouvoirs de l’absolu, encore faut-il saisir exactement de quoi il retourne.
Par « Absolu », il faut entendre « inverse de relatif ». Commençons donc par définir cette notion de relativité, car d’une part elle administre intégralement notre vie au quotidien, et d’autre part il sera ensuite plus facile de saisir à quoi rime son inverse : l’Absolu.
Quoi que vous fassiez
vous ne pouvez pas y échapper !
Vous ne pouvez pas échapper à la relativité, elle est l’essence de notre monde ici-bas. La notion même d’existence matérielle est totalement relative. Votre propre existence ; celle des autres ; l’environnement dans lequel vous vivez : tout est relatif.
Ce que vous connaissez du monde (tout ce que vous pouvez en percevoir) est intégralement et exclusivement relatif. Pour faire simple, la relativité se résume à « par rapport à », c’est-à-dire que la substance de chaque chose est toujours fonction d’autre chose.
Par rapport à quoi ?
En marge d’équations compliquées, la relativité c’est hyper simple : ça se résume à une seule expression ! Le maître mot de la relativité, c’est « par rapport à ». Il n’y a que ça à retenir pour comprendre ce qu’est la relativité : « par rapport à ». C’est tout.
Évidemment on ne ponctue pas toutes nos phrases de « par rapport à » ! Comme la relativité est l’essence de notre monde, il est inutile de systématiquement préciser qu’on y est ! Ceci est automatique, implicite, naturel : le « par rapport à » est toujours tacitement sous-entendu.
160 cm, c’est grand ou petit ?
Par exemple, un homme de 160 cm sera considéré « petit » tandis qu’une femme de la même taille sera considérée « normale ». Et une femme de 180 cm sera considérée « grande » tandis qu’un homme de la même taille sera considéré « normal ».
Mais tout dépend toujours du contexte dans lequel on se trouve : un pygmée adulte de 160 cm sera considéré comme « grand ». Et s’il existait une contrée où presque tout le monde mesure 2 mètres, alors un homme de 180 cm serait « petit ».
Il est « petit ». Elle est « grande ». Il est implicitement sous-entendu par-là « par rapport à un contexte, à une moyenne, à un standard pré-établi : par rapport à l’idée que l’on se fait de la normalité ».
C’est uniquement en fonction d’une référence implicite (non exprimée mais sous-entendue) que de telles caractéristiques prennent effet.
Car en elles-mêmes, les valeurs 160 cm ou 180 cm ne sont ni « grandes » ni « petites ». En soi, une longueur « X » n’est ni grande ni petite. Elle est ce qu’elle est, c’est tout. Il n’y a pas de qualité particulière à lui appliquer.
Le voila notre fameux « Absolu » !
Tandis qu’un « par rapport à » définit un contexte relatif, les 2 expressions « en elles-mêmes » et « en soi » vues au paragraphe précédent définissent un contexte d’absolu. Du reste, elles peuvent être remplacées par « dans l’absolu ».
- Dans l’absolu, les valeurs 160 cm ou 180 cm ne sont ni grandes ni petites ».
- Dans l’absolu, une longueur « X » n’est ni grande ni petite.
En marge de toute référence
Via l’expression « dans l’absolu », on précise que l’on sort les choses de tout contexte. Toute référence doit alors être oubliée et aucune comparaison avec autre chose ne doit être appliqué. Bref, on déclare la suppression de notre fameux « par rapport à » implicite.
Cela revient à décréter une « sortie de relativité », et cela change absolument tout ! Pour en rester à l’exemple précédent, tandis que « normalement » un homme de 160 cm est petit, dans l’absolu il n’est rien. De même pour la femme de 180 cm qui – dans l’absolu – n’est ni grande ni petite.
Plus rien n’est vrai ni faux et …
Tandis que « normalement » tel objet en est « en haut » et tel autre « en bas », dans l’absolu de telles caractéristiques ne peuvent exister. En effet, sans référence de comparaison rien n’est ni en haut ni en bas. En haut ou en bas… mais par rapport à quoi ??
Tenez par exemple : notre belle planète bleue voguant dans l’espace… elle est en haut ou en bas ? Et un objet égaré aux confins du cosmos, il est proche ou éloigné ? Loin par rapport à la terre oui… mais sinon ? Hors de toute référence, « loin » n’a absolument aucun sens !
Dans l’absolu – c’est-à-dire par rapport à rien (aucune référence) – il n’y a évidemment ni haut ni bas, ni grand ni petit, ni froid ni chaud, ni vrai ni faux, et je vous le donne en mille : ni bien ni mal ! Oups ! Je me suis laissé aller… on en arrive aux sujets qui fâchent !
Les sujets qui fâchent …
Les sujets qui fâchent… et bien on n’en parlera pas ici ! Pour tout vous dire, ça serait franchement prématuré dans un article supposé être une simple introduction à l’Absolu.
Car si dans l’absolu il n’y a effectivement ni bien ni mal, cette vérité provoque illico des blocages horrifiés (il faut reconnaître que c’est la plus malaisée à saisir), alors on verra ça plus tard… beaucoup plus tard !!
Bon mais sinon,
à quoi me sert tout ça ?
C’est bien simple : dans les coulisses de la relativité, ce sont des principes d’Absolu qui régissent votre existence de bout en bout. Vos chances et vos malchances, vos heureux ou malheureux hasards : tout ce qui survient dans votre vie est issu de l’Absolu !
Les prémisses du plus grand de tous les secrets
Lorsque vous commencerez à comprendre (intellectuellement) que l’Absolu n’est pas un simple mot, ni une banale notion philosophique, ni une conception ésotérique, vous accéderez aux prémisses du plus grand de tous les secrets.
Puis, lorsque vous aurez naturellement intégré (émotionnellement) que l’Absolu n’est pas un concept métaphysique mais un véritable « deuxième monde » qui administre votre quotidien de A à Z, vous serez en mesure de révolutionner votre existence comme vous n’osez même pas l’imaginer.
Rien pour l’instant, mais après…
A elle seule, la lecture de cet article ne va encore rien changer à votre existence, mais le fait que vous soyez parvenu jusqu’à cette ligne est déjà bon signe : a priori vous êtes motivé(e) et cela est suffisant.
En parcourant les différents articles et en participant à l’Espace-Chance de ce blog, vous entrez dans une nouvelle dimension – celle de l’Absolu.
Celle-ci œuvre en coulisses existentielles depuis toujours, mais va prendre toute son importance après l’émergence du nouveau paradigme (fin 2012, entrée effective dans l’Ere du Verseau).
Des petits miracles à votre portée
Bien sûr vous n’y croyez pas, c’est trop beau pour être vrai… Pourtant c’est beau ET vrai : dans cette nouvelle dimension (après passage au nouveau paradigme), votre libre-arbitre va devenir effectif.
Ah oui, car je dois vous avouer que jusqu’ici votre libre-arbitre n’était qu’une utopie ! Si si, une pure illusion je vous dis ! Jusqu’ici vous n’avez jamais rien choisi vraiment, ça je vous l’assure ! (et j’y reviendrai dans les articles du blog).
Et justement c’est là qu’est le plus grand changement : désormais vous allez effectivement devenir « responsable » de tout ce qui vous arrive ! (le libre-arbitre ne sera plus un précepte sans réalité effective).
Via les lois d’Absolu vous pourrez réellement faire des « petits miracles » (mais aussi vous occasionner d’éventuels préjudices, d’où ce blog « mode d’emploi »).
Vos meilleures chances sont à venir si vous acceptez de voir. Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Acceptez de voir… et vous verrez !
Salut
Excellent votre blog que je commence à parcourir.
Juste une première remarque a cet instant, c’est-à-dire, juste après avoir lu votre présentation du principe de la relativité, car celle-ci ne permet pas de tout bien comprendre, pour cela, il faut introduire le principe de relation de causalité ou relationalite.
Bien le bonjour, tout d’abord très bon blog.
Si vous aimez les jeux de chance: https://www.youtube.com/watch?v=mouU4H5ThWU